Livre d'Or
Guéris ton âme meurtrie, Brise le conditionnement
Qui voile et obscurcit, Ce que tu veux vraiment
Prends l’honnêteté pour socle, Graves-y tes engagements
Achève d’un coup d’estoc, Ces doux vices aveuglants
C’est simple, réveille-toi, Contemple ta vérité
Fais-la vivre en chaque choix, Qui forge ta destinée
Unique responsable, Des faiblesses et échecs
De cette âme insondable, Dont tu es l’architecte
Et tu t’en sais capable, Regarde dans tes mains
L’équilibre est instable, Mais il peut être atteint
Ne tourne pas le dos, Le seul prix est l’effort
Nul besoin de repos, En attendant la mort
18 message(s) dans le livre d'or
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Bonjour
« Je vous souhaite des rêves à n’en plus finir et l’envie furieuse d’en réaliser quelques uns. » Jacques Brel
Amitiés -
Nous dédions ce texte à notre Gribouille
Au nom de tous ces regards qui n'ont jamais mentis ni trichés, au nom de toutes nos terreurs qui ce sont apaiser sous les caresses et le temps , au nom de ce courage que tu as toujours su montrer, au nom de la confiance que tu nous a donner, au nom de cette tendresse sans arrière pensée que tu nous a offerte.
Il reste des séquelles qui restent, des larmes et cette souffrance qui nous accompagnent à ce jour. Merci pour le bonheur que tu nous a apporté, Gribouille, Chien devenu si cher à nos cœurs durant ces années passées ensemble.
Thierry et Joelle -
Le chemin de la liberté,
Longtemps, j'ai mis du temps à l'accepter
Cette maladie qu’on nomme addictisme
Et longtemps, j'ai cédé au défaitisme
Croyant à tort que tout t’était contraire.
Maintenant tel le navigateur solitaire
Désespérément, je me débat, je me morfond
Ne trouvant pas l’issue de ces bas-fonds
Dans lesquels cette « merdouille » perverse
M’as mené telle une amie traîtresse.
De peu, j'ai évité le naufrage
De ma vie et de celle de mon entourage.
Mais voilà qu’au plus profond de moi
Quelque chose me dit : « secoue-toi,
Je veux vivre et non pas crever ! ».
Alors, la raison l’emportant sur l’addiction
Et de « cette merdouille » cherchant l’évasion,
De ma vie, je cesses d’être le passif spectateur,
Pour en devenir, déterminé, l’indispensable acteur.
Oh bien sûr, le monstre encore a des crocs,
Mais je tiens bon malgré les possibles accrocs.
Rejette honte et culpabilité, suis digne,
Je le mérite, car je le sais, rien ni personne
Assurément, ne vaut la peine que je m’empoisonne.
Crois-moi, courtiser ces diaboliques « merdouilles »
Ne m'a rapporté que larmes et esclavage.
Mais un jour, m'a soif de vivre l’a emporté
Et j'ai emprunté le chemin de la liberté.
Au bout de la route, crois-en mon expérience,
Par la définitive et totale abstinence,
Comme moi, plus fort que jamais,
Quand la confiance des tiens renaît,
Tu retrouveras aussi bonheur et joie de vivre,
Alors de fierté et de plaisir tu seras ivre. -
Sonnet à Sir Gribouille
Beau chien, quand je te vois te faire caresser,
Je râle malgré moi - pourquoi ? - Tu n'en sais rien...
Ah, c'est que moi - vois-tu - je. ne suis pas beau chien.
Gribouille ! Gribouille ! - Oh ! Quel beau prénom ils t'ont donné...
Si je m'appelais Gribouille !...
Mais moi je ne suis pas un chien. - Par maladresse !!!,
On m'a fait être humain, durant une. mâtiné de chrétien.
Ô Gribouille ! Prends ces quelques phrases
avec tout l'amour que je te portes;
Tu restera mon chien surnommé "Gribouilloux" -
Bravo mon Thierry déjà 3 ans
-
Aux parents qui se laissent déborder par ce problème de société et qui ne réagissent pas ou prennent conscience du problème trop tard.
L’école des zombies,
Vautrés dans un fauteuil, greffés sur une chaise,
affalés sur un lit, peu importe l’endroit
pourvu que sous leurs yeux ils aient, large ou étroit,
un écran, nouveau dieu, nouvelle catéchèse !
Ils sont là mais absents, comme entre parenthèses,
parents, famille, amis, c’était bon autrefois,
perdu dans leur brouillard, ils émergent parfois
le regard éperdu et l’esprit mal à l’aise.
Ne vous y trompez pas : ils sont bien dépendants,
complètement accros, bien coincés en dedans
et là un seul recours : une écran thérapie !
Ajoutez à cela des muscles atrophiés,
je n’exagère pas, vous pourrez vérifier
en observant de près … l’école des zombies !
Pierre Dupuis -
5 Ans d'abstinence, ce jour, Le chemin de la liberté
Longtemps, j'ai mis du temps à l'accepter
Cette maladie qu’on nomme addictisme
Et longtemps, j'ai cédé au défaitisme
Croyant à tort que tout t’était contraire.
Maintenant tel le navigateur solitaire
Désespérément, je me débat, je me morfond
Ne trouvant pas l’issue de ces bas-fonds
Dans lesquels cette « merdouille » perverse
M’as mené telle une amie traîtresse.
De peu, j'ai évité le naufrage
De ma vie et de celle de ton entourage.
Mais voilà qu’au plus profond de moi
Quelque chose me dit : « secoue-toi,
Je veux vivre et non pas crever ! ».
Alors, la raison l’emportant sur l’addiction
Et de « cette merdouille » cherchant l’évasion,
De ma vie, je cesses d’être le passif spectateur,
Pour en devenir, déterminé, l’indispensable acteur.
Oh bien sûr, le monstre encore a des crocs,
Mais je tiens bon malgré les possibles accrocs.
Rejette honte et culpabilité, suis digne,
Je le mérite, car je le sais, rien ni personne
Assurément, ne vaut la peine que je m’empoisonne.
Crois-moi, courtiser ces diaboliques « merdouilles »
Ne m'a rapporté que larmes et esclavage.
Mais un jour, m'a soif de vivre l’a emporté
Et j'ai emprunté le chemin de la liberté.
Au bout de la route, crois-en mon expérience,
Par la définitive et totale abstinence,
Comme moi, plus fort que jamais,
Quand la confiance des tiens renaît,
Tu retrouveras aussi bonheur et joie de vivre,
Alors de fierté et de plaisir tu seras ivre. -
C'est une vérité certaine qu'on n'est jamais plus tranquille ni moins trompé qu'en vivant avec des gens d'un bon esprit.
Il en coûte beaucoup plus de peine pour être admis et pour se conserver dans une mauvaise compagnie que dans une bonne.
Comme la mauvaise a plus de vanité que d'esprit et de raison, il faut bien des soins pour lui plaire, et ce n'est pas une petite affaire que d'entretenir un sot en bonne humeur avec lui-même et avec les autres.......
Bises -
La pensée du jour
Annulé, annulée, reporté, reportée. Le concert, l'opéra, la représentation théâtrale, le match, la conférence, la réunion.
Un grain d’insouciance revient, à peine visible. Il ne s'envole pas – ce serait trop doux – il s'en revient, d'un pas un peu sec, mais en laissant la porte ouverte. Une légère égratignure, une irritation passagère vaguement inquiète seront balayées d'un revers de main. Regarde, un futur déjeuner, un futur dîner, un futur apéritif combleront les cases vacantes de l’agenda. Le vide sera évité, c'est l'essentiel. Et ce sera l'occasion de parler plus amplement des projets, des vacances, de prendre une collation en parlant du passés et de l'avenir.
Ce sera de superbes moments
Amitiés -
Le confinement
Je pensais pouvoir assez bien le vivre
Prendre du temps
Lire beaucoup de livres
Il n’allait peut-être pas se poursuivre
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure
Les journées sont presque toutes les mêmes
Mais elles passent
Il me reste un problème
Pouvoir retrouver tous les gens que j’aime -
Bonjour
Je vous remercie pour la journée au Lac des Settons d'hier
J'ai passé une super journée
Amitié
Séverine -
Il y a des gens qui préfère « consommer »,
Abattu par ces coups de massue que la vie porte au hasard,
Moi, je me suis réfugiée dans des poèmes parfois bizarre,
Où je consommais ces verres de proses pleine de désespoir,
A avoir trop aimé,
Mon cœur s'était consummé....
Ne devenant plus que l'âme de mon être
L'ombre de mes lettres
Pour ne pas faire de peine à mes proches qui sont mon baromètre,
je ne le laissais jamais paraître.
Et puis l'AC.P.A.58 est arrivéee..
Ils ont su faire renaitre en moi cet espoir tant oublié,
Guider mes pas dans cette obscurité,
Ce noir qui en moi c'était gangréner,
Bientôt il aurait fallu m'amputer,
De ce cœur endormi plein de haine,
Ce cœur plein de peine,
Vous avez su le réveiller ….
Tel un soleil d'été sur mon cœur glacé,
Vous avez réchauffé mon âme damné …
Circulant cette renaissance dans mon corps blessé,
Me réveillant de cet enfer sans pitié,
Je me nourrirai de vos « poèmes roses »
En vous l'espoir et les proses,
Toi qui manie la plume en virtuose !!! -
Salut Nico …
Faut qu'tu m'expliques,
Pourquoi dans ta chanbre d'hôpital, d'un coup,
Tout s'est éteint dans nos cœurs, dans nos têtes,
Tout est devenu gris. J'comprend maintenant qu't'es parti.
Je deviens aigri, les machines n'ont pas réussi à te tenir en vie.
V'là qu'c'est fini.
J't'ai pris avant que tu partes...., quelques sourires....
Accompagné, tu l'a été, jusqu'à la fin par un médecin.
On a fait des conneries étant jeunes, et n'avons pas pris le bon chemin...
J'me suis détourné d'ta route, pour enfin te retrouver de Centre en Centre. Tu es même aller te balader en psychiatrie, et, maintenant, c'est fini...
Tu vas me manquer
Julien -
Vers d’amour
Renée Vivien
Tu gardes dans tes yeux la volupté des nuits,
O Joie inespérée au fond des solitudes !
Ton baiser est pareil à la saveur des fruits
Et ta voix fait songer aux merveilleux préludes
Murmurés par la mer à la beauté des nuits.
Tu portes sur ton front la langueur et l’ivresse,
Les serments éternels et les aveux d’amour,
Tu sembles évoquer la craintive caresse
Dont l’ardeur se dérobe à la clarté du jour
Et qui te laisse au front la langueur et l’ivresse.
Renée Vivien, Cendres et Poussières, 1902 -
Celui qui boit …
Pierre de Ronsard
Celui qui boit, comme a chanté Nicandre,
De l’Aconite, il a l’esprit troublé,
Tout ce qu’il voit lui semble estre doublé,
Et sur ses yeux la nuit se vient espandre.
Celui qui boit de l’amour de Cassandre,
Qui par ses yeux au coeur est ecoulé,
Il perd raison, il devient afolé,
Cent fois le jour la Parque le vient prendre.
Mais la chaut vive, ou la rouille, ou le vin
Ou l’or fondu peuvent bien mettre fin
Au mal cruel que l’Aconite donne :
La mort sans plus a pouvoir de garir
Le coeur de ceux que Cassandre empoisonne,
Mais bien heureux qui peut ainsi mourir.
Pierre de Ronsard, Les meslanges -
Je t’offre un instant d’évasion
Tu peux remercier ma persuasion
Tes problèmes s’effondreront
Dès notre deuxième union
Elle t’impose la peur, Le doute et l’horreur
Au détour des vapeurs, De ta silencieuse erreur
Tu jouiras d’extase
Des délices imaginaires
Aux métamorphoses en vases.
Câliné du monde lunaire
Pour les rassurer, Pour te rassurer
Tu leur dis, Tu te dis
Que tout cela est un jeu, Que tu la quitteras
Quand tu le voudras, Demain tu seras courageux
Viens je t’accepte comme ennemie
Viens je te donne ma vie, J’embrasse tes souffrances
Je réclame tes offenses
Si tu dis oui, Même pour essayer
Même pour frimer, Tu t’enfouis
Céleste -
Un seul mot pour résumer l'AC.P.A.58 : Bravo !
Bravo pour vos actions
Bravo pour ces informations que vous nous faites partager
Je vous envoie à travers la plume de mon stylo toute mes félicitations
Méline -
« Au-delà des mots (et des maux), entrons en relation »
« Lorsque l'on insuffle de l’espoir, on transfuse de la force »
« Donnons de la Vie aux années non des années à la vie »
« Quand chaque instant devient signifiant, plus rien n’est insignifiant »
Merci
Méline
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