Livre d'Or
Guéris ton âme meurtrie, Brise le conditionnement
Qui voile et obscurcit, Ce que tu veux vraiment
Prends l’honnêteté pour socle, Graves-y tes engagements
Achève d’un coup d’estoc, Ces doux vices aveuglants
C’est simple, réveille-toi, Contemple ta vérité
Fais-la vivre en chaque choix, Qui forge ta destinée
Unique responsable, Des faiblesses et échecs
De cette âme insondable, Dont tu es l’architecte
Et tu t’en sais capable, Regarde dans tes mains
L’équilibre est instable, Mais il peut être atteint
Ne tourne pas le dos, Le seul prix est l’effort
Nul besoin de repos, En attendant la mort
9 message(s) dans le livre d'or
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Cet après-midi, le temps dégagé,
Nous donne un bon air d'été,
La brume a disparue,
Même loin on ne la voit plus.
Un tas de randonnée,
Sans écharpe, sans bonnet,
On n'enfile à son pied,
La chaussure qui vous sied,
Armé de son bâton,
On va braver les monts,
Les plaines et les vallons,
En chantant une chanson,
Les arbres et les ruisseaux.
Les fleurs et les oiseaux,
Ravissent de beauté nos yeux,
Marchant l'esprit joyeux.
Quelle belle journée,
Que cette fin d'été -
Cet après-midi, le temps dégagé,
Nous donne un bon air d'été,
La brume a disparue,
Même loin on ne la voit plus.
Un tas de randonnée,
Sans écharpe, sans bonnet,
On n'enfile à son pied,
La chaussure qui vous sied,
Armé de son bâton,
On va braver les monts,
Les plaines et les vallons,
En chantant une chanson,
Les arbres et les ruisseaux.
Les fleurs et les oiseaux,
Ravissent de beauté nos yeux,
Marchant l'esprit joyeux.
Quelle belle journée,
Que cette fin d'été -
Bonjour
« Je vous souhaite des rêves à n’en plus finir et l’envie furieuse d’en réaliser quelques uns. » Jacques Brel
Amitiés -
Sonnet à Sir Gribouille
Beau chien, quand je te vois te faire caresser,
Je râle malgré moi - pourquoi ? - Tu n'en sais rien...
Ah, c'est que moi - vois-tu - je. ne suis pas beau chien.
Gribouille ! Gribouille ! - Oh ! Quel beau prénom ils t'ont donné...
Si je m'appelais Gribouille !...
Mais moi je ne suis pas un chien. - Par maladresse !!!,
On m'a fait être humain, durant une. mâtiné de chrétien.
Ô Gribouille ! Prends ces quelques phrases
avec tout l'amour que je te portes;
Tu restera mon chien surnommé "Gribouilloux" -
Bravo mon Thierry déjà 3 ans
-
Le confinement
Je pensais pouvoir assez bien le vivre
Prendre du temps
Lire beaucoup de livres
Il n’allait peut-être pas se poursuivre
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure
Les journées sont presque toutes les mêmes
Mais elles passent
Il me reste un problème
Pouvoir retrouver tous les gens que j’aime -
Bonjour
Je vous remercie pour la journée au Lac des Settons d'hier
J'ai passé une super journée
Amitié
Séverine -
Il y a des gens qui préfère « consommer »,
Abattu par ces coups de massue que la vie porte au hasard,
Moi, je me suis réfugiée dans des poèmes parfois bizarre,
Où je consommais ces verres de proses pleine de désespoir,
A avoir trop aimé,
Mon cœur s'était consummé....
Ne devenant plus que l'âme de mon être
L'ombre de mes lettres
Pour ne pas faire de peine à mes proches qui sont mon baromètre,
je ne le laissais jamais paraître.
Et puis l'AC.P.A.58 est arrivéee..
Ils ont su faire renaitre en moi cet espoir tant oublié,
Guider mes pas dans cette obscurité,
Ce noir qui en moi c'était gangréner,
Bientôt il aurait fallu m'amputer,
De ce cœur endormi plein de haine,
Ce cœur plein de peine,
Vous avez su le réveiller ….
Tel un soleil d'été sur mon cœur glacé,
Vous avez réchauffé mon âme damné …
Circulant cette renaissance dans mon corps blessé,
Me réveillant de cet enfer sans pitié,
Je me nourrirai de vos « poèmes roses »
En vous l'espoir et les proses,
Toi qui manie la plume en virtuose !!! -
Salut Nico …
Faut qu'tu m'expliques,
Pourquoi dans ta chanbre d'hôpital, d'un coup,
Tout s'est éteint dans nos cœurs, dans nos têtes,
Tout est devenu gris. J'comprend maintenant qu't'es parti.
Je deviens aigri, les machines n'ont pas réussi à te tenir en vie.
V'là qu'c'est fini.
J't'ai pris avant que tu partes...., quelques sourires....
Accompagné, tu l'a été, jusqu'à la fin par un médecin.
On a fait des conneries étant jeunes, et n'avons pas pris le bon chemin...
J'me suis détourné d'ta route, pour enfin te retrouver de Centre en Centre. Tu es même aller te balader en psychiatrie, et, maintenant, c'est fini...
Tu vas me manquer
Julien
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